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boris vian
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L'Herbe rouge narre les aventures d'un ingénieur nommé Wolf, créateur d'une machine pouvant lui faire revivre son passé et ses angoisses dans le but, non atteint, de les oublier.
Dans le monde de Boris Vian, se côtoient l'absurde et l'imaginaire. Nous sommes sur ce qui semble être un terrain d'aviation, et Wolf, marié à Lil, et Lazuli, son assistant, lié à son amie Folavril, terminent la mise au point d'une machine assez bizarre. Tout ce petit monde, avec le chien «le sénateur Dupont» participe à l'inauguration burlesque de la machine. Puis Wolf part dans le monde des souvenirs à bord de sa machine. Là, il rencontre différents personnages, farfelus et pleins de pittoresque. Il revit chaque étape de sa vie. Ce conte est un «prétexte» qui permet à Vian de philosopher sur différents sujets: les conséquences de l'éducation familiale et l'instruction, l'absurdité de celles de la religion. -
BORIS VIAN ( 1920-1959) Peu reconnu de son vivant, la postérité fascinée par cet homme toujours jeune ,créateur d'une langue originale et d'un univers foisonnant, en fait une légende.
Jazz, théâtre, prose, poésie, chansons, peinture... Boris Vian a abordé presque tous les genres littéraires. Cet ouvrage audio nous emmène sur les traces de Boris Vian, de Saint Germain des Près au collège de "pataphysique", des clubs de jazz aux cafés fréquentés par des intellectuels engagés. En quelque deux heures d'archives inédites, avec Boris Vian, Eddie barclay, Henri Salvador... la radio nous le restitue en pleine jeunesse et en musique, quel bonheur de l'entendre !
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Boris Vian ; coffret
Boris Vian
Lu par ARTHUR H., DENIS PODALYDES, FRANCOIS MARTHOURET ET THIBAULT DE MONTALEMBERT- Audiolib
- 10 Novembre 2010
- 9782356412553
Les incontournables de Boris Vian, lus avec passion par Arthur H, Denis Podalydès, François Marthouret et Thibault de Montalembert.
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Un livre-CD avec 26 chansonettes pour apprendre les lettres de l'alphabet.
Chacune est associée à un prénom : A comme Anatole, B comme Berthe, C comme Célestin, etc.
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Chansons, poèmes, sketches, arguments de ballet, graffitis, dessins, collages, peintures, fausses "unes" de journaux : autant d'inédits de Boris Vian. Post-Scriptum révèle et éclaire cette hyperactivité de Vian, ce chantier de création permanente que fut sa vie de 1940 à 1959. "Boris Vian, se souvient Siné, était un surdoué. Il fourmillait d'idées et son inspiration, dans tous les domaines, semblait inépuisable". A preuve, tous ces supports improvisés sur lesquels il lâchait à tout moment son crayon, sa plume ou son stylo : carnets, agendas, manuscrits en cours, cahiers, papiers divers ou à en-tête, feuilles volantes, faire-part de décès, etc. Tout lui était motif : amour, amitié, enfance, humour, science-fiction, opéra, jazz, mathématiques, cinéma, faune, flore, univers. Coeur épuisé dans un monde épuisant, il n'a eu de cesse d'enchanter la vie sur les dix bouts de ses dix doigts : "Ne jouons plus, prenons des risques". Et d'ajouter : "Et que le cric me croque / Si je n'ai pas raison !". Quand Boris Vian est mort, Jacques Prévert a écrit : "Il a quitté ses amis, mais ne leur a pas faussé compagnie". Post-Scriptum en est la preuve éclatante.
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Je voudrais pas crever ; poèmes illustrés en hommage à Martin Matje
Boris Vian
- Les Allusifs
- 16 Décembre 2008
- 9782922868906
Poèmes illustrés en hommage à MARTIN MATJE par FRANÇOIS AVRIL, SERGE BLOCH, PHILIPPE BROCHARD, SERGE CLERC, DOMINIQUE CORBASSON, GÉRARD DUBOIS, DUPUY-BERBERIAN, JOCHEN GERNER, JEAN-CLAUDE GÖTTING, JACEK JARNUSZKIEWICZ, LIONEL KOECHLIN, JACQUES DE LOUSTAL, JEANFRANÇOIS MARTIN, CHRISTOPHE MERLIN, EMMANUEL PIERRE, ALAIN PILON, FRÉDÉRIC RÉBÉNA, ALAIN RENO ET RÉMI SAILLARD .
L'année 2009 marquera entre autres le cinquantenaire de la mort de Boris Vian, une date que souligneront les éditions Les Allusifs en publiant une édition illustrée de son recueil de poèmes Je voudrais pas crever, paru en 1962. Dans une maquette conçue par Lyne Lefebvre, la créatrice des premiers livres des Allusifs, vingt artistes, parmi lesquels les illustrateurs contemporains les plus reconnus (François Avril, Serge Clerc, Dupuy-Berbérian, Götting, Loustal, etc.), redonneront vie à cette oeuvre crépusculaire d'un Boris Vian qui plus que jamais se jouait avec grâce et impertinence d'une mort imminente. Le livre s'ouvrira sur une préface d'un ami de l'illustrateur Martin Matje, l'auteur André Marois qui a déjà publié un roman aux Allusifs, Tête de pioche, en 2001.
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Le goûter des généraux ; le dernier des métiers ; le chasseur français
Boris Vian
- LE LIVRE DE POCHE
- Litterature
- 25 Mars 1998
- 9782253144076
La guerre : c'est une nouvelle fois le thème de ce Goûter des généraux, l'une des oeuvres les plus corrosives et les plus abouties - que nous ait laissées l'auteur du Déserteur et de L'Équarrissage pour tous. Une guerre contre les plus faibles, bien sûr, cyniquement décidée par les politiques, afin de faire oublier leurs échecs et leur médiocrité... Une guerre qui ne fait pas du tout l'affaire du général de La Pétardière-Frenouillou, lequel préfère organiser des goûters chez sa maman avec ses petits camarades ! Rien de démonstratif, en effet, chez Boris Vian : pas d'autres armes que celle d'un humour débridé, imprévisible, libérateur. Cette pièce, écrite en 1951, fut représentée pour la première fois en 1964, en Allemagne... puis en France, en 1965.
Ce même rire est à l'oeuvre dans Le Dernier des métiers, où un autre pouvoir est mis sur la sellette à travers l'inoubliable Père Saureilles, prédicateur mondain, véritable star du showbiz religieux, et dans l'étonnant Chasseur français, comédie musicale des plus grinçantes, où l'on suivra, entre autres, les tribulations de la marquise de Piripin, trop éprise de petites annonces, de rencontres coquines et de Série noire...
Un feu d'artifice de trouvailles, d'inépuisable invention verbale et théâtrale.
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Poèmes et chansons
Boris Vian, Romain Benoît
- Renaissance Du Livre
- Litterature Illustree
- 10 Janvier 2011
- 9782507001841
Inventeur, écrivain, chanteur, critique, trompettiste, scénariste et traducteur, Boris Vian est un homme aux talents multiples. Surtout connu pour L'écume des jours, ce féru de jazz excelle également dans les poèmes et les chansons où il swingue avec des sujets aussi variés et contemporains que l'antimilitarisme (Le déserteur a d'ailleurs été censuré dans sa première version), la critique du progrès, l'alcoolisme ou le snobisme. Ce recueil rassemble une cinquantaine de textes et chansons illustrés avec rythme et passion par Romain Benoit, jeune dessinateur de talent. Pour célébrer ce grand auteur, il n'a pas hésité à multiplier les techniques picturales pour rendre ce livre haut en mots et en couleurs.
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Romancier, poète, parolier, dramaturge, Boris Vian fut aussi chroniqueur de presse. C'est cette dernière facette, sans doute la plus méconnue, d'un écrivain prodigieusement fécond et divers, que l'on découvrira dans ce recueil.
Automobile, beaux - arts, littérature, variétés, mais aussi économie, sciences ou loisirs : les passions d'un homme curieux de tout sont représentées dans ces pages. Comme toujours, Vian joue ici avec brio des diverses dimensions du rire, de la satire, de la fantaisie, de l'absurde. Mais qu'on ne s'y trompe pas : si l'auteur de L 'Ecume des jours n'accepta jamais de se draper dans le sérieux, cette apparente légèreté va de pair avec un regard aigu et lucide sur son temps.Et ses jugements esthétiques - en particulier sur la chanson, où il salue à leurs débuts Brassens, Brel, Devos ou Gainsbourg-témoignent d'un goût aussi perspicace que rebelle à tous les conformistes. -
«Le Major avait une façon assez personnelle de danser, un peu déroutante au premier abord, mais à laquelle on s'accoutumait assez vite. De temps à autre, s'arrêtant sur le pied droit, il levait la jambe gauche de façon que le fémur fasse avec le corps, tenu vertical, un angle à 90°. Le tibia restait parallèle au corps, puis s'en écartait légèrement dans un mouvement spasmodique, le pied demeurant parfaitement horizontal pendant ce temps. Le tibia, redevenu vertical, le Major abaissait son fémur, puis continuait comme si de rien n'était.» Les surprises-parties en 1945 racontées par Boris Vian.
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Oeuvres romanesques complètes Tome 2
Boris Vian
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 14 Octobre 2010
- 9782070118649
Cela commence bien pour Vian, l'écrivain. Queneau aime Vercoquin et le plancton. Gallimard accepte ce premier roman puis un deuxième, L'Écume des jours. Sartre reçoit l'auteur aux Temps modernes, où paraîtront ses Chroniques du Menteur. J'irai cracher sur vos tombes fait scandale - un vrai scandale, du premier coup, celui que tant d'artistes attendent en vain toute leur vie. Et pourtant, cela ne prend pas. Les seuls romans de Vian qui connaissent le succès de son vivant sont ceux qu'il signe Sullivan. Les autres ne trouvent pas leur public. Le dernier, L'Arrache-coeur, sept ans à peine après Vercoquin, est un ultime échec. Vian en conclut que sa destinée ne sera pas littéraire. Il renonce au roman.
Sa célébrité est alors à son comble, pour d'autres raisons. « Oh ! je fais dans pas mal de choses, n'adjudant ; ingénieur, auteur, traducteur, musicien, journaliste, interprète, jazzologue, et maintenant directeur artistique d'une maison de disques. - Ouais. je vois. » répond l'adjudant, « bon à tout, bon à rien. » Le personnage de Vian - trompinette, tourniquette et cor à gidouille - prend beaucoup de place, il est vrai, jusqu'à masquer en partie son oeuvre. Résultat : au lendemain de sa mort prématurée, la plupart de ses livres « littéraires » sont introuvables. Le succès viendra plus tard, au rythme des rééditions posthumes, et il sera accompagné d'une certaine reconnaissance. Mais prend-on vraiment l'écrivain au sérieux ? L'imaginaire de Vian déconcertait ses contemporains. On a parfois l'impression, aujourd'hui, que son humour embarrasse les nôtres. C'est ainsi ; Vian trouvait le sérieux risible et voyait dans le rire une chose sérieuse. Dans son arbre généalogique littéraire figurent les noms de Rabelais, Swift, Carroll, Jarry, Queneau.
Cette édition réunit les romans, les nouvelles et les scénarios de Boris Vian, ainsi qu'un choix de textes brefs qui, bien que non fictionnels (encore que certaines chroniques soient fort « romancées »), éclairent son univers imaginaire. Précisément, à quoi ressemble-t-il, cet univers ? À un monde parallèle au nôtre et communiquant avec lui, doté de son langage propre, irréductible aux catégories convenues (fantastique, science-fiction), aussi contrasté que le désert à rayures de L'Automne à Pékin, mais concerté, cohérent, à la fois poétique et réel : « l'histoire est entièrement vraie, puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre. Sa réalisation matérielle proprement dite consiste essentiellement en une projection de la réalité en atmosphère biaise et chauffée, sur un plan de référence irrégulièrement ondulé et présentant de la distorsion. » Langage d'ingénieur, mais il cache une définition du récit poétique, au service de thèmes graves - la difficulté d'être, l'usure de toute chose, l'angoisse de la mort - qui chez Vian sont transfigurés par la magie du rêve.
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Oeuvres romanesques ; coffret 2 volumes
Boris Vian
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 14 Octobre 2010
- 9782070129447
Cela commence bien pour Vian, l'écrivain. Queneau aime Vercoquin et le plancton. Gallimard accepte ce premier roman puis un deuxième, L'Écume des jours. Sartre reçoit l'auteur aux Temps modernes, où paraîtront ses Chroniques du Menteur. J'irai cracher sur vos tombes fait scandale - un vrai scandale, du premier coup, celui que tant d'artistes attendent en vain toute leur vie... Et pourtant, cela ne prend pas. Les seuls romans de Vian qui connaissent le succès de son vivant sont ceux qu'il signe Sullivan. Les autres ne trouvent pas leur public. Le dernier, L'Arrache-coeur, sept ans à peine après Vercoquin, est un ultime échec. Vian en conclut que sa destinée ne sera pas littéraire. Il renonce au roman.
Sa célébrité est alors à son comble, pour d'autres raisons. «Oh! je fais dans pas mal de choses, n'adjudant ; ingénieur, auteur, traducteur, musicien, journaliste, interprète, jazzologue, et maintenant directeur artistique d'une maison de disques. - Ouais... je vois...» répond l'adjudant, «bon à tout, bon à rien...» Le personnage de Vian - trompinette, tourniquette et cor à gidouille - prend beaucoup de place, il est vrai, jusqu'à masquer en partie son oeuvre. Résultat : au lendemain de sa mort prématurée, la plupart de ses livres «littéraires» sont introuvables. Le succès viendra plus tard, au rythme des rééditions posthumes, et il sera accompagné d'une certaine reconnaissance. Mais prend-on vraiment l'écrivain au sérieux? L'imaginaire de Vian déconcertait ses contemporains. On a parfois l'impression, aujourd'hui, que son humour embarrasse les nôtres. C'est ainsi ; Vian trouvait le sérieux risible et voyait dans le rire une chose sérieuse. Dans son arbre généalogique littéraire figurent les noms de Rabelais, Swift, Carroll, Jarry, Queneau.
Cette édition réunit les romans, les nouvelles et les scénarios de Boris Vian, ainsi qu'un choix de textes brefs qui, bien que non fictionnels (encore que certaines chroniques soient fort «romancées»), éclairent son univers imaginaire. Précisément, à quoi ressemble-t-il, cet univers? À un monde parallèle au nôtre et communiquant avec lui, doté de son langage propre, irréductible aux catégories convenues (fantastique, science-fiction), aussi contrasté que le désert à rayures de L'Automne à Pékin, mais concerté, cohérent, à la fois poétique et réel : «l'histoire est entièrement vraie, puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre. Sa réalisation matérielle proprement dite consiste essentiellement en une projection de la réalité en atmosphère biaise et chauffée, sur un plan de référence irrégulièrement ondulé et présentant de la distorsion.» Langage d'ingénieur, mais il cache une définition du récit poétique, au service de thèmes graves - la difficulté d'être, l'usure de toute chose, l'angoisse de la mort - qui chez Vian sont transfigurés par la magie du rêve.
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Oeuvres romanesques complètes Tome 1
Boris Vian
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 14 Octobre 2010
- 9782070115525
Cela commence bien pour Vian, l'écrivain. Queneau aime Vercoquin et le plancton. Gallimard accepte ce premier roman puis un deuxième, L'Écume des jours. Sartre reçoit l'auteur aux Temps modernes, où paraîtront ses Chroniques du Menteur. J'irai cracher sur vos tombes fait scandale - un vrai scandale, du premier coup, celui que tant d'artistes attendent en vain toute leur vie. Et pourtant, cela ne prend pas. Les seuls romans de Vian qui connaissent le succès de son vivant sont ceux qu'il signe Sullivan. Les autres ne trouvent pas leur public. Le dernier, L'Arrache-coeur, sept ans à peine après Vercoquin, est un ultime échec. Vian en conclut que sa destinée ne sera pas littéraire. Il renonce au roman.
Sa célébrité est alors à son comble, pour d'autres raisons. « Oh ! je fais dans pas mal de choses, n'adjudant ; ingénieur, auteur, traducteur, musicien, journaliste, interprète, jazzologue, et maintenant directeur artistique d'une maison de disques. - Ouais. je vois. » répond l'adjudant, « bon à tout, bon à rien. » Le personnage de Vian - trompinette, tourniquette et cor à gidouille - prend beaucoup de place, il est vrai, jusqu'à masquer en partie son oeuvre. Résultat : au lendemain de sa mort prématurée, la plupart de ses livres « littéraires » sont introuvables. Le succès viendra plus tard, au rythme des rééditions posthumes, et il sera accompagné d'une certaine reconnaissance. Mais prend-on vraiment l'écrivain au sérieux ? L'imaginaire de Vian déconcertait ses contemporains. On a parfois l'impression, aujourd'hui, que son humour embarrasse les nôtres. C'est ainsi ; Vian trouvait le sérieux risible et voyait dans le rire une chose sérieuse. Dans son arbre généalogique littéraire figurent les noms de Rabelais, Swift, Carroll, Jarry, Queneau.
Cette édition réunit les romans, les nouvelles et les scénarios de Boris Vian, ainsi qu'un choix de textes brefs qui, bien que non fictionnels (encore que certaines chroniques soient fort « romancées »), éclairent son univers imaginaire. Précisément, à quoi ressemble-t-il, cet univers ? À un monde parallèle au nôtre et communiquant avec lui, doté de son langage propre, irréductible aux catégories convenues (fantastique, science-fiction), aussi contrasté que le désert à rayures de L'Automne à Pékin, mais concerté, cohérent, à la fois poétique et réel : « l'histoire est entièrement vraie, puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre. Sa réalisation matérielle proprement dite consiste essentiellement en une projection de la réalité en atmosphère biaise et chauffée, sur un plan de référence irrégulièrement ondulé et présentant de la distorsion. » Langage d'ingénieur, mais il cache une définition du récit poétique, au service de thèmes graves - la difficulté d'être, l'usure de toute chose, l'angoisse de la mort - qui chez Vian sont transfigurés par la magie du rêve.
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Mademoiselle Bonsoir ; la reine des garces
Boris Vian
- LE LIVRE DE POCHE
- Litterature
- 28 Octobre 2009
- 9782253128977
La vie s'égrène mollement dans la rédaction du magazine Coeur Maître, jusqu'au jour où le responsable du courrier du coeur lance une idée géniale : trouver une demoiselle capable d'aller endormir les célibataires... la belle est trouvée, et très vite toute l'équipe tombe sous son charme ainsi que tous ceux qu'elle approche, dont un tueur en série insomniaque... Ballets, choeurs, chorégraphies de clochards, danse des robots... Mademoiselle Bonsoir est une comédie à la fois tendre et virevoltante, digne de Broadway ! overlord Mauser mène une vie de star jusqu'au mariage de sa fille qui, pour une raison fort cocasse et inattendue, décide de se venger de son père en devenant... la Reine des garces ! Qu'elles soient « reine de coeur » ou « dame de pique », les héroïnes de ces deux comédies musicales inédites font revivre le génie fantaisiste, satirique et visionnaire de Boris vian.
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Réussir son Bac de français 2023 : Analyse de J'irai cracher sur vos tombes de Boris Vian
Boris Vian
- Bac De Francais
- 2 Janvier 2023
- 9782385091460
Réussissez votre bac de français 2023 grâce à notre fiche de lecture du roman J'irai cracher sur vos tombes de Boris Vian !
Validée par une équipe de professeurs, cette analyse littéraire est une référence pour tous les lycéens.
Grâce à notre travail éditorial, les points suivants n'auront plus aucun secret pour vous : la biographie de l'écrivain, le résumé du livre, l'étude de l'oeuvre, l'analyse des thèmes principaux à connaître et le mouvement littéraire auquel est rattaché l'auteur. -
Les onze récits de ce recueil ont été rassemblés par Boris Vian lui-même; leurs nombreuses rééditions ont apporté la preuve de l'importance de cet ouvrage dans son oeuvre.Onze récits où se conjuguent l'émotion, la verve, la fantaisie, la tendresse et la saine insolence de Vian.
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Paru pour la première fois en 1948, Et on tuera tous les affreux est le troisième ouvrage de Boris Vian écrit sous le pseudonyme de Vernon Sullivan.Sexe, sang, anticipation scientifique, suspense, espionnage et froide rigolade y sont superbement dosés.
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Longtemps la chanson n'a retenti qu'aux carrefours des rues ou dans les cabarets. En moins d'un siècle, le micro, la radio, le disque en ont fait une industrie internationale. Auteur de chansons devenues classiques - Le Déserteur, J'suis snob, On n'est pas là pour se faire engueuler... -, Boris Vian a été le témoin de cette mutation, dans une époque qui vit briller les noms de Montand, Brassens, Gréco, cependant qu'après le jazz, le rock se préparait à franchir l'Atlantique...
Il conte ici avec passion, avec aussi la verve irrésistible et la fantaisie qui sont sa marque, ce monde de la chanson dont il connaît toutes les coulisses et tous les refrains, s'interrogeant à chaque page sur ce miracle imprévisible : la naissance d'une « grande » chanson.
Féroce contre le conformisme marchand, réfractaire à toute forme de censure comme d'élitisme ou de parti pris, cette radioscopie de ce qu'on n'appelait pas encore le showbiz n'a rien perdu de son actualité.
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Romans, nouvelles, oeuvres diverses
Boris Vian
- LE LIVRE DE POCHE
- La Pochotheque
- 21 Novembre 2001
- 9782253132646
BORIS VIAN-L'Ecume des jours / L'Automne à Pékin -L'Herbe rouge / L'Arrache-Coeur -J'irai cracher sur vos tombes -Et on tuera tous les affreux -L'Equarrissage pour tous -Le Goûter des généraux / Nouvelles / Poèmes -Chansons / Textes sur le jazz.
Edition établie, présentée et annotée par Gilbert Pestureau. -
Durant l' après-guerre, la modernité est américaine. Du jazz au roman à suspense, du cinéma à la science-fiction, c' est d' outre-Atlantique que surgissent les nouveautés qui bousculent nos réflexes et nos habitudes. Le trompettiste de Saint-Germain-des-Prés, romancier de Les morts ont tous la même peau, se révèle ici à l' affût de ces modes nouveaux de la création et de la sensibilité.
Son regard sur le cinéma est celui du professionnel qu' il rêva de devenir. L' esthétique des salles, l' utilisation du jazz, la vogue de la comédie musicale, l' avenir du cinéma d'amateur: tout l' intéresse au long de ces articles et chroniques qui s' échelonnent durant sa vie d'écrivain.
Pour ce qui est de la science-fiction, il n' est sans doute pas exagéré de dire que Boris Vian fut le premier en France à s' y intéresser, à la connaître à fond et à la faire connaître. Les textes relatifs à ce genre plein d' avenir sont parmi les plus passionnants du présent recueil.
Mais c' est aussi la chronique d' une époque que l' on trouvera dans ces pages : celle de Bardot et du Voleur de bicyclette, du technicolor et de la «pin up», de Saint Tropez et des débuts du festival de Cannes... Tout cela dépeint avec l'humour, la vivacité, l' inlassable générosité intellectuelle de Boris Vian.
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«Les Trois Baudets», «La Rose rouge», «L' Amiral», «Le Night-club» : ces cabarets illustres des années cinquante virent débuter les meilleurs chanteurs, comédiens et fantaisistes de notre temps. Boris Vian écrivit pour eux de nombreux sketches ou pièces brèves, dont les interprètes s'appelaient Jacqueline Maillan, Yves Robert, Rosy Varte ou Jacques Fabbri.
Il puisa aux sources les plus diverses, donnant avec Adam, Eve et le troisième sexe une hilarante relecture de la Genèse, transportant les spectateurs de Dernière Heure au début du troisième millénaire, ou proposant, avec Cinémassacre, une étourdissante parodie des grands genres du cinéma, du réalisme italien au film d'horreur, d' «Alfred Hitchpoule» à «Cecil B. de Cent Mille»...
Compositeur, dramaturge, chroniqueur, poète... Voici encore un des mille visages, à découvrir ou à redécouvrir, de l' inoubliable romancier de L' Ecume des jours.
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J'irai cracher sur vos tombes
Boris Vian, Denis Lavant
- LE LIVRE DE POCHE
- Litterature
- 5 Mars 1997
- 9782253141433
Si vous le lisez avec l'espoir de trouver dans J'irai cracher sur vos tombes quelque chose capable de mettre vos sens en feu, vous allez drôlement être déçu.
Si vous le lisez pour y retrouver la petite musique de Vian, vous l'y trouverez. Il n'y a pas beaucoup d'écrits de Vian dont il ne suffise de lire trois lignes anonymes pour dire tout de suite : «Tiens, c'est du Vian !» Ils ne sont pas nombreux, les écrivains dont on puisse en dire autant. Ce sont généralement ces écrivains-là qui ont les lecteurs les plus fidèles, les plus passionnés, parce que, en les lisant, on les entend parler. Lire Vian, lire Léautaud, lire la correspondance de Flaubert, c'est vraiment être avec eux. Ils ne truquent pas, ils ne se déguisent pas. Ils sont tout entiers dans ce qu'ils écrivent. Ça ne se pardonne pas, ça. Vian a été condamné. Flaubert a été condamné... Delfeil de Ton. -
Cantilènes en gelée : je voudrais pas crever
Boris Vian
- LE LIVRE DE POCHE
- Litterature
- 8 Octobre 1997
- 9782253141341
Poète, Boris Vian le fut dans bien des domaines, roman, chanson, théâtre... Mais s'il aima par-dessus tout confronter son génie propre à toutes les formes d'expression - comme le révèlent les Cent Sonnets composés durant ses études -, il livra parfois le plus intime de lui-même dans des poèmes parfaitement libres, écrits au hasard des jours pour son propre plaisir.
En témoignent ces deux recueils publiés de son vivant - Cantilènes en gelée et Barnum's Digest - auxquels s'ajoutent une vingtaine de textes dits « posthumes ».
L'humour noir, la provocation, la tendresse, la fantaisie verbale, la mélancolie aussi : l'auteur de L'Écume des jours se retrouve ici tel qu'en lui-même, drôle et secrètement tragique, formidablement attachant, éternellement jeune.
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Préface de Cavanna Note de l'éditeurROMANSL'écume des joursL'arrache-coeurL'automne à PékinPOEMESJe voudrais pas creverPourquoi que je visLa vie, c'est comme une dentY avait une lampe de cuivreQuand j'aurai du vent dans mon crâneJe n'ai plus très envieSi j'étais pohéteûJ'ai acheté du pain durY a du soleil dans la rueUn homme tout nu marchaitJ'ai mal à ma rapièreIls cassent le mondeUn de plusJ'aimeraisDonnez le siUn poèteSi les poètes étaient moins bêtesElle serait là, si lourdeY en a qui ont des trompinettesJe veux une vie en forme d'arêteUn jourTout a été dit cent foisJe mourrai d'un cancer de la colonne vertébraleNOUVELLESLes fourmisLes poissons mortsBlues pour un chat noirTHEATRELe dernier des métiersA PREUVETentative de brouillage de cartes